Autant dire que tous les regards se tourneront sur ses performances, lors des prochaines élections européennes en Mai 2019. Le Parti d’extrême droite espagnole Vox a fait une entrée fracassante sur la péninsule ibérique, en obtenant 12 sièges du Parlement andalou en décembre 2018. On connaît sa rhétorique anti-migrants. On connaît moins ses positions anti-féministes. C’est le reportage en Espagne de Diane Cambon. L’autre musée Et la place des femmes dans l’art. Il y aurait sans doute des centaines de musées fantômes à découvrir avec toutes ces artistes féminines que l’histoire a oubliées. A Vienne, le musée du Belvédère où l’on peut admirer « le baiser de Gustav Klimt » connu dans le monde entier, on leur a consacré une exposition. On peut y découvrir les pionnières de l’art autrichien qui ont marqué la période 1900-1938, avant d’être sciemment mises de côté par les Nazis. Visite avec Céline Beal. Un monde sans argent… sans argent liquide pour être plus précis, sans pièces, billets, ou même sans carte de crédit. Les paiements dématérialisés, via le téléphone portable, prennent une part de plus en plus grande et pourraient représenter 25 % des paiements dans 5 ans. Et l’exemple vient des pays de l’ancien bloc communiste. En Ukraine, par exemple. Les consommateurs plébiscitent de plus en plus ce mode de paiement, car ils ont été échaudés par les dévaluations massives de leur monnaie nationale, et la crise bancaire. Aujourd’hui, le pays est le 4ème pays au monde concernant le paiement électronique. Reportage à Kiev de Sébastien Gobert. Fintech in Vilnius Et sur les bords de la Baltique, la Lituanie espère aussi tirer son épingle du jeu dans les fintech, ces start-ups spécialisées dans les technologies financières et le paiement. Plusieurs grands noms de la filière s’installent déjà à Vilnius, un pied à terre européen essentiel en cas de Brexit. Sur place, les explications de Marielle Vitureau. Un grand ratage. Le quartier européen de Bruxelles, et ses buildings en verre fumé ou en béton, est-il à l’image d’une Europe qui perd ses repères, c’est-à-dire son âme ? Telle est la thèse de Luc Lamant, qui a été pendant six ans le correspondant de Médiapart à Bruxelles. Aujourd’hui, il sort un livre « Bruxelles Chantiers, une critique architecturale de l’Europe » aux éditions Lux. Il a expliqué à Catherine Rolland en quoi les bâtiments européens desservaient le projet politique.
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